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Auteur Sujet: Jean-Claude Pinoteau révolutionne la physique  (Lu 3891 fois)

Jacques

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Jean-Claude Pinoteau révolutionne la physique
« le: 21 mai 2012, 10:57:53 »
Adresses des deux fils complets :
Eolienne statique :
https://groups.google.com/group/fr.sci.physique/browse_thread/thread/27d2e7b9ae7235c9?hl=fr#
EDF n'avait pas consulté Peanuto, quelle erreur !
https://groups.google.com/group/fr.sci.physique/browse_thread/thread/41fdfc10676c2173?hl=fr#

Citation de: Jean-Claude Pinoteau
Groupes de discussion : fr.sci.physique
De : Nietsnie <nietsnie.trebla@9online.fr>
Date : Wed, 25 Apr 2012 20:03:19 +0000
Date/heure locale : Mer 25 avr 2012 22:03
Objet : Eolienne statique

Posons que nous disposons d'un grille métallique face au vent. En aval
du vent, elle est munie de pointes permettant l'écoulement des charges
produites par l'arrachage d'électrons par le frottement du vent. On
choisira peut être un isotope métallique prompt à libérer des électrons.

En face et sous le vent sortant de ladite plaque, on a au contraire une
grille friande d'électrons. De par sa forme et aussi le matériaux (peut
être du carbone, graphène ou autre)

Si nous relions les deux plaques par une charge, un courant va circuler.
En effet, la plaque en amont du vent devient positive puisque des
électrons sont arrachés et la plaque en aval devient négative
puisqu'elle se charge d'électrons.

Nous avons là une parfaite éolienne statique. Pourrait-on se figurer le
genre de rendement prévisible ?

--
Jean-Claude Pinoteau

Etc. etc. etc.



Citation de: Jean-Claude Pinoteau
From: Nietsnie <nietsnie.trebla@9online.fr>
Newsgroups: fr.sci.physique
Subject: Re: EDF n'avait pas consulté Peanuto, quelle erreur !
Date: Sat, 19 May 2012 18:23:58 +0200

Le 19/05/2012 16:30, Jean-Christophe a écrit :
> On 19 mai, 16:06, Yoann Toutinotron :
>
> | Même avec la surface d'une molécule on arrive à la même conclusion.
>
> =>  Non. Si tu ne vois pas ce que la charge de un électron rapporté à
> la
> =>  taille d'une molécule signifie comparé à la taille seule d'un
> électron,
> =>  tu n'as rien à faire sur fsp...
>
>> Ce n'est pas parce qu'il y a une grosse différence
>> relative que la conclusion change, que tu essaye de soulever
>> 1 ou 10000 tonnes le résultat reste le même non?
>
> La valeur de ce prétendu « condensateur virtuel » vaut
>   C = espsilon * surface / distance
> avec distance = distance au sol (énorme)
> et surface = surface d'une molécule (infime)
>
> Le rayon d'une molécule d'eau (prise pour exemple)
> étant de l'ordre de 100 picomètres, la surface de la sphère
> minimale qui l'englobe est de l'ordre de S = 10 ^ -19 m2
> et la distance au sol est de l'ordre de quelques
> dizaines de mètres (par exemple) prenons D = 10 m
>
> La valeur du condensateur est proportionnelle à S/D
> soit C<  10 ^ -20 ce qui est quasiment inexistant.

Non !!!

Dans tout raisonnement à l'échelle corpusculaire, tout est quasi inexistant. Sauf que toute chose à l'échelle macroscopique est constituée d'une quantité incommensurable d'éléments unitaires et que la somme devient d'une échelle accessible par des ploucs comme toi...

> Que l'on considère la surface d'un électron ou celle
> d'une molécule, le rapport surface/distance reste
> également infime, donc l'argument de C ne tient pas.
>
> N'importe qui comprend cela, sauf un certain
> Pinu incapable de faire une multiplication,
> même quand on lui en donne le détail :
> de la confiture aux cochons ...

Tu prends n'importe quel condensateur classique dont chaque molécule de métal de l'armature est chargée d'un seul électron et tu multiplies par le nombre de molécules en surface de l'armature et tu as exactement le même raisonnement. Or, d'après ton raisonnement à la con (les seuls qui te vont), vu que un électron sur une molécule c'est rien, donc, un condensateur c'est rien...

--
Jean-Claude Pinoteau

Ah ! Les "molécules du métal" ! par l'inventeur des biophotons et des ondes de forme !

« Modifié: 19 août 2012, 11:56:55 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Re : Jean-Claude Pinoteau révolutionne la physique
« Réponse #1 le: 19 août 2012, 11:58:42 »
A exposer aussi, sa conception des "molécules" : Selon Pinoteau le bruit d'une détente Joule-Kelvin, c'est l'entrechoc des molécules...

Citation de: Jean-Claude Pinoteau
Path: news.alphanet.ch!alphanet.ch!.POSTED!not-for-mail
From: Nietsnie <nietsnie.trebla@9online.fr>
Newsgroups: fr.sci.physique
Subject: =?ISO-8859-1?Q?D=E9compression_de_gaz_et_bruit?=
Date: Sun, 19 Aug 2012 19:31:28 +0200
Organization: Posted through ALPHANET (http://www.alphanet.ch/)
Lines: 16
Sender: nietsnie@252.16.73.86.rev.sfr.net
Message-ID: <k0r7tm$p39$1@shakotay.alphanet.ch>
NNTP-Posting-Host: 252.16.73.86.rev.sfr.net
Mime-Version: 1.0
Content-Type: text/plain; charset=ISO-8859-1; format=flowed
Content-Transfer-Encoding: 8bit
X-Trace: shakotay.alphanet.ch 1345397494 25705 86.73.16.252 (19 Aug 2012 17:31:34 GMT)
X-Complaints-To: usenet@alphanet.ch
NNTP-Posting-Date: Sun, 19 Aug 2012 17:31:34 +0000 (UTC)
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Xref: news.alphanet.ch fr.sci.physique:240469

Lors de la décompression de gaz comprimé, par un orifice de petite
taille, qui fait que la pression passe brutalement de plusieurs bars à
la pression atmosphérique, il y a un bruit caractéristique. Quelles en
sont les causes ?

Sont ce les molécules qui s'entrechoquent dans une sorte de chaos ou qui
entrent en oscillation ?
Serait ce l'expansion des molécules à une vitesse supersonique ?
Est ce une oscillation du matériau à l'extrémité de la buse, soumis à
des variations de force ?
Ou autre ?

Y a-t-il des formes ou matériaux de buse qui réduisent le phénomène ?

--
Jean-Claude Pinoteau

Cl.Massé lui a répondu que les triples buses...
« Modifié: 19 août 2012, 03:16:33 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences